Comment ce site Web hexo est-il construit et déployé ?
Comment ce site Web hexo est déployé à l'aide de Docker, Caddy, docker-caddy-proxy grâce à Ansible.
Comment ce site Web hexo est déployé à l'aide de Docker, Caddy, docker-caddy-proxy grâce à Ansible.
How this Hexo website is deployed using Docker, Caddy, docker-caddy-proxy thanks to Ansible
La joie se trouve dans le continuel devenir, le changement.
Copyright
Extrait du livre « Flore descriptive et illustrée de la France de la Corse et des contrées limitrophes » par l’abbé Hippolyte COSTE.
Les images de cette page sont extraites de la numérisation de cette flore par la bibliothèque nationale de France.
Plante sans tige aérienne apparente ou à tige si courte que les feuilles semblent naître de la racine : Violette odorante, Gentiane acaule.
Organe continuant à végéter et à s’accroître après la floraison :
Fruit sec, indéhiscent, à une seule graine libre, c’est-à-dire n’adhérant pas au péricarpe :
Feuilles linaires, raides et aiguës comme des aiguilles : Feuilles du Pin maritime (fig. 4).
Petits aiguillons délicats, ordinairement droits, qui recouvrent certains organes :
Végétaux sans cotylédons et se reproduisant par des spores : Fougères, Prêles, Lycopodes.
Organe dont le sommet se termine brusquement en acumen, c’est-à-dire en pointe allongée et effilée : feuilles du Bouleau (fig. 7), du tilleul.
Organe attaché à un autre et faisant corps avec lui : ovaire et calice du Saxifraga granulata (fig. 8).
Plante qui vient d’un pays étranger, plus ou moins éloigné, et qui n’a pas été semée : le Zygophyllum Fabago, à Cette.
Racines qui prennent naissance directement sur la tige : Lierre, Fraisier, Violette odorante (fig. 9).
Faisceau ou couronne de poils ou de soies terminant certains fruits : les akènes du Crepis albida (fig. 10).
Dont le sommet se rétrécit insensiblement en pointe : feuilles de l’Arenaria trinervia (fig. 11).
Piquant naissant de l’écorce et se détachant sans déchirer le bois : Rosier (fig. 12).
Membrane mince ou foliacée accompagnant certains organes :
Pourvu d’une ou plusieurs ailes.
Voir Achaine.
Feuilles, parfois bractées ou fleurs, insérées une à une à des hauteurs différentes sur la tige ou les rameaux : Tilleul (fig. 16).
Marqué de petites fossettes anguleuses nommées alvéoles : réceptacle de plusieurs Composées ; fruit de la Pimprenelle (fig. 17).
Feuille ou bractée à base élargie embrassant plus ou moins la tige ou le rameau : Pavot somnifère (fig. 18).
Nervures ramifiées, saillantes, se réunissant entre elles en réseau par leur sommet : bractée du Tilleul (fig. 19) ; calice du Silene inflata (fig. 20).
Comprimé et à bords plus ou moins tranchants, comme un glaive à 2 tranchants : tige du Poa compressa (fig. 21).
Épi formé de fleurs mâles et de fleurs femelles groupées sur le même pédoncule (fig. 22).
Plante à ovules et graines renfermées dans un ovaire ou péricarpe : Pommier, Poirier, toutes les Dicotylédones et Monocotylédones.
Plante qui naît, se développe, se reproduit et meurt dans une même année végétative : Froment, Seigle, Sarrasin.
Partie terminale de l’étamine renfermant le pollen (voir fleur et étamine).
Moment de la floraison d’une plante.
Synonyme de capitule : inflorescence des Composées.
Fleur dépourvue de pétales : Frène (fig. 23).
Plante ou tige dépourvue de feuilles : voir Aphyllanthes monspeliensis.
Organe dont le sommet se rétrécit brusquement en pointe courte, aiguë, peu consistante ; silicule du Draba verna ; gousse de la Lentille (fig. 24).
Partie accessoire à quelque organe : calice du Campanula speciosa (fig. 25).
Muni d’appendices.
Organe appliqué sur un autre, mais sans y adhérer : poils de la Renoncule bulbeuse (fig. 24) et du Potentilla verna.
Poils mous, fins, entrecroisés comme les fils d’une toile d’araignée : Sempervivum arachnoideum (fig. 27) ; Cirsium eriophorum.
Végétal ligneux atteignant au moins 5 mètres de haut : Chêne, Orme, Peuplier, Pin.
Petit arbre de 1 à 5 mètres, à tige se ramifiant ordinairement dès la base : Fusain, Nerprun, Troëne, Genévrier.
Pointe filiforme, raide, terminant un organe : épillet de seigle (fig. 28), d’Avoine ; carpelles de la Clématite (fig. 29).
Expansion du funicule enveloppant plus ou moins la graine : Fusain (fig. 30).
Organe muni d’une arête.
Portion d’organe se séparant d’elle-même, à une certaine époque, du reste de l’organe en un point nommé articulation : silique du Raphanus Raphanistrum (fig. 31).
Organe formé d’articles : silique articulée.
Étalé à la base, puis redressé : tige du Potentilla aurea (fig. 32).
Qui diminue insensiblement de largeur ou d’épaisseur, soit à la base, soit au sommet : feuilles de Silene (fig. 33).
Muni à la base de 2 lobes ou oreillettes : feuilles caulinaires du Camelina sativa (fig. 34).
Organe arrêté dans son développement : silicules du Capsella gracilis (fig. 35) (forme du C. bursa-pastoris).
Ligne passant par le centre d’un corps ; pédoncule commun sur lequel sont fixés les fleurs, les fruits, les pédicelles, etc. : épi du seigle (fig. 36).
Placé à l’aisselle d’une feuille, d’une bractée, d’un rameau : fleurs de la Cardiaque (fig. 37), du Lierre terrestre.
Fruit en forme de baie.
Fruit mou ou charnu, à graines éparses dans la pulpe : Raisin, Groseille, Busserole, Laurier (fig. 38), Asperge (fig. 39).
Odeur analogue à celle du baume : Cistes.
Pointe terminale d’un fruit : Erodium (fig. 40), Adonis (fig. 41), Barbarea (fig. 42).
Particule initiale ajoutant l’idée de deux au mot devant lequel elle est placée.
À deux dents : akènes du Bidens tripartita (fig. 43).
Fendu en deux jusque vers le milieu de sa longueur : pétales du Silene inflata (fig. 44).
Qui porte deux fleurs : pédoncule du Geranium columbinum (fig. 45).
Fendu en deux branches partant du même point, comme une fourche à deux dents : rameau du Spergula vulgaris (fig. 46).
Divisé en deux lèvres inégales, l’une supérieure, l’autre inférieure, et dont la gorge reste ouverte : calice et corolle de la Sauge (fig. 47) et de la plupart des Labiées.
Partagé en deux lobes : silicule de la Biscutelle (fig. 48).
Partagé en deux lobes par une cloison : fruit de la Lunaire (fig. 49) et de la plupart des Crucifères.
Divisé profondément jusqu’au delà du milieu : calice des Ajoncs (fig. 50) ; pétales du Draba verna (fig. 51).
Feuille d’abord pennatifide et dont les segments secondaires sont également pennatifides : Matricaire (fig. 52).
Feuille d’abord pennatiséquée et dont les segments secondaires sont également pennatiséqués : Aspidium aculeatum (fig. 53), Œnanthe pimpinelloides.
Feuille deux fois pennée : Osmunda regalis (fig. 54), Rue fétide.
Plante qui ne fleurit et fructifie que la 2^{e} année, puis meurt : Chou, Rave, Persil.
Disposé sur deux rangs : graines du Diplotaxis (fig. 55) et de plusieurs Crucifères.
Feuille deux fois ternée : Podagraire (fig. 56).
Fruit s’ouvrant par deux valves : silicule de la Lunaire (fig. 57) et fruit de la plupart des Crucifères et des Papilionacées.
Organe ovoïde, écailleux, placé à l’aisselle des feuilles ou à l’extrémité des rameaux : Poirier (fig. 58).
Petite feuille accompagnant les pédoncules ou les fleurs, et différant des autres feuilles par sa forme ou sa couleur : Tilleul (fig. 59), Ornithogale (fig. 60).
Qui a la forme d’une bractée : feuilles supérieures du Globularia vulgaris (fig. 61).
Petite bractée accompagnant les pédicelles ou les fleurs : Violette (fig. 62), Muguet (fig. 63), Scille.
Muni de bractéoles ou de bractées.
Souche courte et renflée ou bourgeon charnu, écailleux, plus ou moins souterrain : Lis, Ail, Oignon, Muscari (fig. 64).
Renflé en forme de bulbe : souche de la Renoncule bulbeuse (fig. 65).
Petits bulbes accompagnant les fleurs ou les feuilles de certaines plantes : Ail des vignes (fig. 66).
Qui porte des bulbiles.
Organe qui se détache et tombe de bonne heure : feuilles du Poirier ; sépales du Coquelicot (fig. 67).
Petits bulbes qui naissent à l’aisselle des écailles des bulbes : Ail cultivé, Ail rose (fig. 68).
Synonyme de capitule (voir ce mot).
Enveloppe extérieure de la fleur, formée de sépales libres ou soudés : Renoncule (fig. 69), Primevère (fig. 70).
Plantes dont les étamines sont insérées sur le calice : Rose, Potentille (fig. 71), Benoîte.
Du calice, qui appartient au calice.
Petit calice accessoire, placé à l’extérieur et formé de folioles ou d’écailles : Mauve, Potentille, Œilllet (fig. 72).
Muni d’un calicule.
Qui a des callosités, des renflements arides.
Renflements arides et raboteux qui se développent sur certains organes : Rumex conglomeratus (fig. 73).
En forme de cloche : fleur des Campanules (fig. 74).
Creusé d’un petit sillon en forme de canal : feuilles de l’Œillet (fig. 75), de la Carotte.
Muni de côtes longitudinales régulières, séparées par des sillons : tige de la Berce (fig. 76).
Très grêle, fin et délié comme un cheveu : feuilles de l’Asperge (fig. 77), des Renoncules aquatiques.
En tête arrondie : stigmate du Chèvrefeuille (fig. 78).
Inflorescence à fleurs sessiles ou subsessiles et serrées en tête sur un réceptacle commun, simulant une seule fleur : toutes les Composées (fig. 79).
Fruit sec, déhiscent ou non, contenant ordinairement plusieurs graines : Pavot (fig. 80), Réséda (fig. 81).
Saillie longitudinale du dos de certains organes, rappelant par sa forme la carène d’un bateau : glumes du Phalaris (fig. 82), sépales de la Crucianelle (fig. 83), réunion des deux pétales inférieurs des Papilionacées (voir ce mot).
Muni d’une caréne.
Épaississement charnu et peu étendu de certaines graines : Mœhringia, Luzula Forsteri (fig. 84 agrandie) et Luzula pilosa, Violettes (fig. 85 agrandie).
Fruit rudimentaire ou partie d’un fruit multiple : fruit des Renoncules (fig. 86 agrandie).
Petit support de certaines capsules : Silene nemoralis (fig. 87).
Qui a la consistance et la couleur d’un cartilage : bord de divers Saxifrages.
Fruit, sec indéhiscent, à graine unique soudée avec le péricarpe : Froment (fig. 88), Seigle, Maïs, Riz.
Plante pourvue d’une tige apparente, par opposition à acaule : Violette des bois (fig. 89).
Qui tient à la tige : feuilles de la Violette des bois (fig. 89).
Plante offrant à sa base des touffes compactes : plusieurs Graminées et Saxifrages.
Couvert de petites granulations, comme la peau de chagrin : graines de plusieurs Arenaria (fig. 90).
Fleurs sessiles à l’aisselle d’une écaille et formant par leur réunion un épi qui se détache et tombe tout d’une pièce : Chêne, Noyer, Noisetier (fig. 91).
Tige souvent creuse, munie de nœuds d’où partent des feuilles linéaires engainantes : toutes les Graminées (fig. 92).
Bordé de cils.
Petits poils disposés sur un rang comme ceux des paupières : feuilles des Drosera (fig. 93) et du Draba aizoides.
En forme de massue : capsule du Papaver dubium (fig. 94), calice fructifère du Silene Armeria (fig. 96).
Lame membraneuse partageant le fruit en deux ou plusieurs loges qui renferment les graines : la Lunaire (fig. 97) et toutes les Crucifères à fruit déhiscent, les Pavots (fig. 95).
Qui a une couleur autre que la verte, par opposition à herbacé.
Ligne ou surface d’union de deux organes, par exemple des méricarpes des Ombellifères (fig. 98).
Feuilles plus ou moins divisées en unités secondaires ou folioles : Rose (fig. 99) ; Capitules formés de plusieurs petites fleurs étroitement groupées dans un involucre commun : Marguerite, Arnica et toutes les Composées (voir fig. 79).
D’une même couleur, par opposition à discolore.
Fruit composé, formé d’un axe et de nombreuses écailles, à la base desquelles sont les graines : Pin (fig. 100), Vergne (fig. 101), Houblon (fig. 102).
Organes se prolongeant inférieurement et se liant les uns au autres sans interruption : lobes du Polypode commun (fig. 103).
Feuilles opposées et soudées par la base : Chèvrefeuille, Chloreperfolié (fig. 104).
Petit corps unissant les deux loges des anthères et se prolongeant parfois au delà de leur sommet : Salvia officinalis (fig. 105), Salvia glutinosa (fig. 106).
Organes se rapprochant par le sommet sans se souder : ombelle de la Carotte (fig. 107) ; fleur d’Orchis morio (fig. 108).
Parties d’une capsule à plusieurs loges se séparant avec élasticité et emportant leurs graines : Euphorbia Characias (fig. 109).
En forme de cœur : feuilles de la Ficaire (fig. 110), de la Violette (fig. 111).
Tenace, flexible et plus ou moins épais comme le cuir : feuilles du Buis, du Laurier-rose.
Deuxième enveloppe de la fleur, située entre le calice et les étamines, à divisions libres ou soudées : Ficaire (fig. 112), Primevère (fig. 113).
Plante dont les étamines sont insérées sur la corolle : Chèvrefeuille (fig. 114).
Petite couronne d’appendices libres ou soudés dans certaines corolles : Narcisse, Jonquille (fig. 115).
Inflorescence dans laquelle les axes secondaires partent de points différents et arrivent à peu prés à la même hauteur : Millefeuille (fig. 116).
À poils blanchâtres, longs, doux au toucher : Anémone Pulsatile (fig. 117).
Nom donné à la première ou aux deux premières feuilles sortant de la graine (voir Dicotylédone et Monocotylédone).
Bordé de crénelures, c’est à-dire de dents obtuses ou arrondies : feuilles de la Violette (fig. 118), du Lierre terrestre (fig. 119).
(voir Acotylédone).
En forme de coin ou de triangle renversé : feuilles du Saxifraga cuneata (fig. 120) ; silicule de la Bourse-à-pasteur (fig. 121).
Involucre écailleux, foliacé ou épineux, en forme de petite coupe, qui enveloppe plus ou moins certains fruits : gland du Chêne (fig. 122).
Insensiblement atténué en pointe aiguë et raide : dents des feuilles du Châtaignier (fig. 123).
Approchant de la forme cylindrique.
Groupe de fleurs sur pédoncules rameux partant du même point et arrivant à une même hauteur : Alsine tenuifolia, Joubarbe (fig. 124).
Qui ne peut se soutenir et se laisse tomber en bas et en dehors : Rosa arvensis, Lotus decumbens
Feuilles dont le limbe se prolonge inférieurement en aile foliacée sur la tige et les rameaux : Bouillon-blanc (fig. 125).
Fruits ou anthères qui s’ouvrent naturellement à la maturité pour laisser tomber les graines ou le pollen : capsule épineuse du Marronnier d’Inde (fig. 126).
En forme de delta ou de triangle : feuilles du Bouleau (voir fig. 7) ; périanthe de l’Atriplex hastata.
Fleurette de fleur composée, déjetée en languette plane et uni latérale : les Hieracium (fig. 127) et toutes les semi-flosculeuses.
Bordé de dents, c’est à dire de petites échancrures triangulaires égales ou inégales : feuilles de l’Ortie dioïque (fig. 128).
Bordé de dents fines ou superficielles, appelées dentelures ou denticules : feuilles du Nerprun (fig. 129).
Comprimé verticalement : fruit de la Cynoglosse (fig. 130).
Étamines soudées par leur filet en deux faisceaux égaux ou inégaux : Polygala (fig. 131) ; Pois (fig. 132).
Synonyme de Polypétale (voir ce mot).
Tige, rameaux, panicule une ou plusieurs fois bifurqués : Radiola linoides, Valerianella olitoria (fig. 133).
Fleurs auxquelles il manque des étamines ou le pistil, c’est à dire dioïques ou monoïques.
Plante ayant deux cotylédons opposés : la Fève (fig. 134) et tout l’embranchement des Dicotylédones.
Formé de deux parties globuleuses, soudées entre elles et également saillantes : fruit du Bifora radians (fig. 135), du Lonicera xylosteum (fig. 136) et des Galium.
Étamines au nombre de 4, dont deux plus longues : Digitale (fig. 137), Sauge, Brunelle (fig. 138) et toutes les Labiées.
Étalé horizontalement, lâchement et sans ordre.
Feuilles ou bractées dont les folioles sont insérées en un même point et s’étalent à la manière des doigts de la main : Cannabis, Dentaire digitée, Lupin (fig. 139).
Plante dont les fleurs à étamines et les fleurs à pistil sont sur deux pieds différents : Chanvre, Salix cinerea, chatons mâles et femelles (fig. 140), au milieu une fleur isolée de chaque.
Organe ayant une forme ronde et aplatie : gousse du Medicago disciformis (fig. 141).
Offrant deux surfaces colorées différemment : feuilles des Ronces discolores.
Fruit qui a deux graines : gousse de la lentille (voir fig. 24) et de plusieurs Vesces.
Organe glanduleux surmontant le réceptacle de quelques fleurs : Lierre (fig. 142), Érable (fig. 143) ; partie centrale du capitule des Radiées couverte par les fleurons (voir Radiées).
Organes disposés sur un axe commun, sur deux rangs opposés et situés dans un même plan : feuilles du Cephalanthera ensifolia (fig. 144), de l’If ; épillets de l’Ivraie.
Écarté à angle très obtus, presque à angle droit et en tous sens : Peucedanum Oreoselinum, Galium divaricatum (fig. 145).
Fruit ayant à peu près la consistance d’une drupe : Térébinthe (fig. 146).
Fruit charnu succulent, indéhiscent, renfermant un noyau à une seule graine : Cerise, Prune (fig. 147), Pruneau, Abricot, Pèche.
Petite drupe : fruits de la Ronce.
Petites lames minces et coriaces, parfois charnues, qui accompagnent ou protègent certains organes : Lathræa squamaria (fig. 148), Aspidium aculeatum.
Qui présente une échancrure ou entaille peu profonde : Silicule des Iberis (fig. 149), des Lepidium (fig. 150).
En forme d’ellipse ou courbe régulière plus longue que large et rétrécie du milieu vers les deux bouts : feuilles du Muguet (fig. 151), du Sceau-de-Salomon.
Formant une gaine, c’est-à-dire un étui ou long anneau autour d’un autre organe : feuilles de la Brize (fig. 152) et de toutes les Graminées.
En forme de lame d’épée : feuilles de L’Iris (fig. 153) ; bec de la silique de Sinapsis alba (fig. 154).
(voir mérithalles).
Disposé sans aucun ordre : feuilles du Lin (fig. 155), de la Linaire, du Lycopodium clavatum.
Prolongement tubuleux du calice ou de la corolle au dessous de la fleur : Ancolie, Pied-d’ Alouette (fig. 156), Linaire.
Offrant un ou plusieurs éperons.
Sorte de grappe dont les fleurs sont sessiles ou subsessiles sur un axe simple : Froment, Seigle, Crucianelle (fig. 157).
Placé à la surface et se montrant hors du sol : souche du Plantago carinata (fig. 158).
Inséré au dessus du pistil : étamines des Corolliflores (voir ce mot).
Petit épi formé par une ou plusieurs fleurs, portant à la base une ou deux glumes : Brize (fig. 159) ; Brome (fig. 160), Ivraie (fig. 161), et toutes les Graminées.
Pointe droite et aiguë, faisant corps avec la tige, les rameaux ou un autre organe, et ne pouvant en être détachée sans déchirer les fibres : Prunelier, Aubépine, Groseiller épineux (fig. 162).
À bords irrégulièrement dentés et comme rongés : feuilles de la Laitue vireuse (fig. 163).
Organes mâle de la fleur, situé entre le corolle et le pistil, et composé du filet et de l’anthère (fig. 164).
Pétale supérieur, ordinairement plus grand, de la corolle des Papilionacées (voir ce mot).
Qui fait saillie en dehors, par opposition à inclus : étamines de l’Allium sphærocephalum (fig. 165), style du Thlaspi alpestre (fig. 166).
Qui paraît situé en dehors de l’aisselle de la feuille : vrille et pédoncule de Bryone (fig. 167), fleurs du Lin extra-axillaire (fig. 168).
Anthères qui s’ouvrent vers le dehors de la fleur : Hellébore, Anémone (voir introrse).
Aspect général et port d’une plante à première vue.
En forme de faux ou de faucille : carpelles du Ceratocephalus falcatus (fig. 169) ; gousses de la Trigonelle de Montpellier (fig. 170).
Réuni en faisceau, en assemblage d’organes rapprochés en long : fleurs du Cerisier (fig. 171), feuilles du Berberis (fig. 171).
Rameaux rapprochés et dressés : Pastel (fig. 173).
Organe des plantes, le plus souvent de couleur verte, composé du limbe et du pétiole : feuille du Tilleul (fig. 174).
Racine formée de filaments simples ou peu rameux : nombreuses Renoncules et Graminées : racine d’Eragrostis Barrelieri (fig. 175).
Terme toujours accompagné d’un préfixe, indiquant qu’un organe, plus étroit qu’un lobe, est fendu jusque vers son milieu (voir palmatifide et pennatifide).
Partie inférieure de l’étamine qui supporte l’anthère (voir étamine).
Fin et allongé comme un fil : feuilles du Ranunculus fluitans (fig. 176).
À bord découpé comme une frange : pétales du Dianthus superbus (fig. 178).
Cylindrique et creux en dedans, comme une flûte : tige de la Ciguë (fig. 177) ; chaume des Graminées.
Appareil de la fructification composé, lorsque la fleur est complète, du calice, de la corolle, des étamines et du pistil : Tilleul (fig. 179).
Fleurette tubuleuse, régulière, ordinairement à 5 dents : Bluet, Chardons et Centaurées (fig. 180).
Plié ou courbé plusieurs fois en zigzag : axe de l’épi de l’Ivraie (fig. 181).
Qui porte des flocons de poils : Bouillon-blanc, Scorzonère.
Fleur composée formée uniquement de fleurons (voir ce mot).
Qui à l’apparence d’une feuille : involucre de l’Anémone des bois (fig. 182) ; stipules du Pois (fig. 183).
Division d’une feuille composée, d’un involucre ou d’un périanthe : feuille du Rosier (fig. 184).
Sorte de capsule s’ouvrant par une seule suture longitudinale, où sont attachées les graines : Héllébore, Pied d’Alouette, Ancolie (fig. 185).
Petite cavité : graines de l’Euphorbia segetalis (fig. 186).
Feuille des Fougères portant les fructifications sur la face inférieure : Scolopendre (fig. 187).
Qui porte le fruit : calice fructifère.
Qui a la consistance d’un arbrisseau ; Rue fétide.
Cordon ombilical ou filet rattachant l’ovule au placenta : gousse du Robinier (fig. 188).
En forme de fuseau, c’est à dire renflé au milieu et atténué aux deux bouts : hampe de l’Oignon ; capsule et graines du Narthecium ossifragum (fig. 189).
Base de certaines feuilles, bractées ou involucres se prolongeant sur la tige et l’entourant complètement : Armeria, Graminées (fig. 190) ; Prêles (fig. 191).
Synonymes de monosépale, monopétale.
Organes disposés deux à deux sans être opposés : feuilles du Pin, fleurs de la Vesce cultivée (fig. 192).
Plié brusquement, en faisant un angle, en forme de genou : arêtes de l’Avoine (fig. 193), tige de l’Alopecurus geniculatus (fig. 194).
Muni d’une ou plusieurs gibbosités.
Bosse qui accompagne certains organes : sépales de plusieurs Crucifères (fig. 195).
Dépourvu de poils : Buis, Chou, Persil.
Presque glabre : Cresson.
Organe ordinairement vésiculeux sécrétant des liquides de nature variée : Rosa rubiginosa, gousse de l’Adénocarpe (fig. 196, avec détail fortement agandi).
Muni de glandes.
Presque glauque : Fumeterre.
D’un vert bleuâtre ou bleu de mer : Chou.
Groupe de fleurs subsessiles réunies en têtes serrées : Trifolium glomeratum, Cuscute (fig. 197).
De la nature écailleuse des glumes : Scirpus palustris (fig. 198) et les autres Cypéracées.
Bractée qui entoure la base des épillets dans les Graminées : Bromus squarrosus (fig. 199).
Bractée qui forme l’enveloppe extérieure de chaque fleur de l’épillet : Graminées : Bromus squarrosus (fig. 200).
Gluant et visqueux : Vergne.
Entrée du tube du calice monosépale ou de la corolle monosépale : Sauge (fig. 201).
Fruit sec, à une seule loge, le plus souvent s’ouvrant en deux valves, dont chacune porte une rangée de graines : Haricot, Pois, Genêt (fig. 202).
Linéaire, étroit, à nervures parallèles, semblable à une feuille de Graminées : feuilles du Ranunculus gramineus (fig. 203).
Qui porte des tubercules en forme de petits grains : souche du Saxifraga granulata (fig. 204).
Inflorescence formée d’un axe primaire allongé, portant des axes secondaires ou rameaux terminés chacun par une fleur : Cytisus Laburnum (fig. 205).
Mince et fluet : Alsine tenuifolia.
Qui ne peut s’élever qu’à l’aide d’un appui auquel il se fixe soit par des vrilles, soit par des racines : Lierre, Bryone, Pois.
Plante à ovules et graines nues, non renfermées dans un ovaire ou péricarpe : Pin, Sapin, Cyprès et toutes les Conifères.
Synonyme de Carpophore.
Sorte de colonne de la fleur des Orchidées, formée par le style et les étamines soudés ensemble : Ophrys apifera (fig. 206) et autres Orchidées.
Localité ou région où se rencontre une plante.
Pédoncule nu, partant de la souche et portant une ou plusieurs fleurs : Primevère.
En forme de fer de hallebarde, muni à la base de deux lobes étalés horizontalement : Rumex Acetosella (fig. 207), Atriplex hastata (fig. 208).
Vert ou ayant la consistance molle de l’herbe, par opposition à coloré ou ligneux.
Garni de poils droits et un peu raides : Lepidium hirtum.
Fleur pourvue d’étamines et de pistils : la Renoncule et la plupart des plantes vasculaires.
Tige ou rameau hérissé d’aiguillons dissemblables, d’aiguillons et d’acicules : Rosa pimpinellifolia (fig. 209).
Ayant des feuilles de différentes formes : Ranunculus aquatilis.
Cicatrice laissée par le funicule sur la graine : Pois (fig. 210).
Garni de poils longs, raides et presque piquants : Bourrache, Vipérine et la plupart des Borraginées.
Un peu hispide : Myosotis.
À feuilles toutes semblables, par opposition à hétérophylle : Ranunculus fluitans.
Plante provenant d’une espèce dont la graine a été fécondée par une autre espèce presque toujours du même genre : Primula variabilis = P. vulgaris X officinalis. Toujours désigné par le signe X.
En forme de soucoupe, à tube étroit et long, terminé par un limbe brusquement évasé : Pervenche (fig. 211) ; Laurier-rose (fig. 212).
Qui se développe sous terre : souche du Plantago serpentina.
Inséré au-dessous de l’ovaire : étamines de la Renoncule (fig. 213) et de toutes les Thalamiflores.
À parties se recouvrant à moitié comme les tuiles d’un toit : feuilles du Thuya (fig. 214), Juniperus phœnicea (fig. 215), Lycopodium (fig. 216).
Feuille composée-pennée, terminée par une foliole impaire : Frêne, Noyer, Térébinthe (fig. 217).
Offrant des découpures profondes et inégales : feuilles du Lamnium incisum (fig. 218).
Renfermé, qui ne dépasse pas les bords de l’organe qui l’enveloppe, par opposition à exsert : étamines de la Primevère (fig. 219) ; style du Thlaspi perfoliatum (fig. 220).
Fruit ne s’ouvrant pas naturellement à maturité : silicule du Pastel (fig. 221).
Dépourvu d’épines ou aiguillons, par opposition à épineux ou aiguillonné : rameaux de la Rose des Alpes.
Ovaire placé au-dessous du calice et des autres parties de la fleur : Épilobe (fig. 222), Campanule.
Disposition des fleurs sur une même plante : Capitule, Chaton, Corymbe, Cyme, Épi, Grappe, Ombelle, Spadice, Thyrse (voir ces mots).
Qui a la forme d’un entonnoir : corolle de la Primevère (fig. 223) ; du Jasmin jaune (fig. 224).
Anthère dont la suture s’ouvre vers le centre de la fleur : Pivoine, Campanule. Par opposition à extrorse (voir ce mot).
Petite collerette de bractées à la base d’une ombellule ; un grand nombre d’Ombellifère : Orlaya grandiflora (fig. 225).
Réunion de bractées, verticillées ou imbriquées, insérées à la base d’une ombelle, d’un involucre ou de toute autre inflorescence : Centaurea Jacea (fig. 226).
Organe dont les parties ne sont pas égales et symétriques : fleur de l’Aconit, de la Violette.
Division intérieure en forme de lèvre ou de tablier, souvent pendante et éperonnée, de la fleur des Orchidées : Orchis bifolia (fig. 227) et purpurea (fig. 228).
Calice ou corolle dont le limbe forme deux lèvres ou une seule et dont la gorge reste ouverte (voir bilabié et unilabié).
Découpé en lanières étroites et inégales : pétales du Réséda, du Dianthus monspessulanus (fig. 229).
À suc blanc comme le lait : Coquelicot, Euphorbes.
En forme de fer de lance, atténué aux deux bouts, plus longuement au sommet : feuilles du Laurier (fig. 230), du Polygone.
Segment étroit et allongé : feuilles du Ranunculus fluitans (fig. 231).
En forme de lentille, convexe sur les deux faces et à bords amincis : Lentille.
Organe non soudé avec un autre : ovaire des Renonculacées (fig. 232).
Petite membrane située au sommet de la gaine des Graminées et embrassant le chaume : Brize (fig. 233).
Partie élargie d’une feuille ou d’un pétale (voir ces mots).
Allongé, plan et presque également étroit dans toute sa longueur : feuilles de l’Œillet (fig. 234), du Lin et de toutes les Graminées.
N’offrant aucune aspérité.
Divisions arrondies d’un organe ; en parlant d’une feuille : divisions larges, séparées par des échancrures arrondies et n’allant pas jusqu’à la nervure médiane : feuilles radicale (fig. 255) et caulinaire (fig. 236) d’un Erodium, montrant des lobes.
Qui offre plusieurs lobes : un grand nombre de feuilles.
Petit lobe, lobe secondaire étant au principal ce que celui-ci est à la feuille entière : feuilles des Thalictrum (fig. 237).
Cavité intérieure d’un fruit ou d’une anthère : capsule du Réséda (fig. 238) vue horizontalement et verticalement.
Feuille pennatifide ou pennatiséquée, terminée par un lobe élargi et arrondi bien plus grand que les autres : Barbarea (fig. 233), Lampsana.
Se desséchant et se flétrissant sur place sans tomber : feuilles du Chêne ; corolles du Trèfle, des Campanules, des Orchidées.
De la marge, du bord : côtes marginales du fruit des Ombellifères (fig. 240).
Entouré d’un rebord : fruit du Tordylium apulum (fig. 241) ; feuilles de plusieurs Primevères (fig. 242) et Saxifrages.
Souple, mince et transparent comme une membrane : cloison de la silicule de la Lunaire.
Les deux carpelles monospermes qui constituent le fruit des Ombellifères : Carotte, Persil (fig. 243), Cerfeuil (fig. 244).
Intervalles nus, compris entre deux nœuds d’une tige : Prêle (fig. 245).
Étamines soudées par les filets en un seul faisceau : Mauve (fig. 246) et Guimauve.
Présentant des articles renflés et des étranglements en forme de chapelet : souche de l’Avena precatoria (fig. 247).
Qui ne porte qu’un capitule : tige du Pissenlit, du Serratula nudicaulis.
Plante n’ayant qu’une seule enveloppe florale, verte ou colorée : Épinard, Daphné, Aristoloche (fig. 248) et toute la classe des Monochlamydées.
À un seul Cotylédon : le Blé (fig. 249) et toutes les Monocotylédones.
À un seul pistil : Cratægus monogyna (fig. 250).
Plante dont les fleurs à étamines et les fleurs à pistil sont distinctes, mais portées sur le même pied : Noisetier (fig. 251), Chêne, de nombreux Carex (fig. 252).
Corolle dont les divisions sont plus ou moins soudées entre elles : Primevère (fig. 253), Bourrache.
Calice dont les divisions sont plus ou moins soudées entre elles : Silène enflée (fig. 254), Primevère.
Fruit à une seule graine : silicule du Neslia (fig. 255).
Brusquement terminé en pointe courte et raide appelée mucron : calicule de l’Oeillet (fig. 256), involucre du Buplèvre aristé (fig. 257).
Terminé en pointe ou mucron peu saillant : feuilles et involucres de plusieurs Euphorbes (fig. 258).
Souche ou racine produisant plusieurs tiges.
Très découpé, divisé en lanières nombreuses : feuilles des Renoncules aquatiques, de la Nigelle, du Senecio adonidifolius (fig. 259).
Portant un grand nombre de fleurs.
Offrant de nombreuses loges : capsules du Lin (fig. 260).
Offrant des partitions nombreuses : feuilles du Ranunculus bulbosus (fig. 261) et Chardons.
Muni de pointes courtes et robustes : carpelle du Ranunculus muricatus (fig. 262).
Dépourvu d’arête ou de pointe distincte, par opposition à mucroné ou aristé.
En forme de Navet.
Végétal qui s’est propagé de lui-même dans un pays et y vit comme les plantes indigènes : Erigeron canadense.
Organe glanduleux de certaines fleurs sécrétant un liquide sucré nommé nectar : Renoncule (fig. 263), Fritillaire (fig. 264).
Muni d’un ou plusieurs nectaires.
Disposition des nervures dans une feuille : nervation pennée, palmée, etc.
Pourvu de nervures saillantes.
Prolongement et ramification du pétiole ou du pédoncule dans le limbe formant la charpente des feuilles, des sépales, des siliques ou silicules, etc. Nervure médiane : celle qui prolonge le pétiole et partage la feuille en deux parties.
Point d’insertion d’une feuille sur une tige renflée et comme articulée en cet endroit : toutes les Graminées (fig. 266).
Garni de distance en distance de nœuds ou renflements : souche du Phalaris nodosa (fig. 267).
Boite dure et osseuse qui enveloppe la graine de certains fruits : Cerisier, Prunier (fig. 268), Térébinthe (fig. 269).
Organe privé des appendices ou des enveloppes qui l’accompagnent ordinairement : tige nue, c’est-à-dire sans feuilles.
En forme de cône renversé : fruit de l’Aigremoine (fig. 270).
En cœur renversé, l’échancrure en haut : folioles de l’Oxalis stricta (fig. 271).
Bien plus long que large et arrondi aux deux bouts : feuilles du Troëne (fig. 272), de l’Epurge (fig. 273).
En ovale dont la plus grande largeur est en haut : feuilles de Samolus (fig. 274), de la Busserole (fig. 275).
À sommet arrondi, non aigu : feuilles de l’Amélanchier (fig. 276), de la Busserole (fig. 275), sépales de la Violette odorante (fig. 277).
Petite gaîne de la base du pétiole des Polygonées et des pédicelles de certains Carex : Polygonum maritimum (fig. 278) et Persicaria (fig. 279).
À graines peu nombreuses.
Inflorescence dont les rameaux partant du même point s’élèvent à la même hauteur, en divergeant comme les rayons d’un parasol : les Ails (ombelle simple, fig. 280) et les Ombellifères (ombelle composée, fig. 281).
Petite ombelle portée au sommet des rameaux d’une ombelle composée : Carotte, Laserpitium et la plupart des Ombellifères.
Offrant au centre une dépression nommée ombilic : Umibilicus, Pomme, Poire, fruit de l’Aubépine (fig. 282).
Terminé par une petite pointe courbée en crochet ou en hameçon : involucre de la Bardane (fig. 283), calice du Scleranthus uncinatus (fig. 284).
Partie inférieure et plus ou moins rétrécie du pétale (voir ce mot).
Pétale pourvu d’un onglet : Œillet, Nielle.
Sorte de couvercle constituant la partie supérieure de la Pyxide et se détachant circulairement à la maturité (voir pyxide).
Organes situés deux à deux au même niveau et vis-à-vis l’un de l’autre : feuilles du Buis (fig. 285), du Millepertuis.
Inséré du côté opposé d’où naît la feuille : vrilles de la Vigne, de la Bryone (fig. 286).
Arrondi en forme de cercle : gousse du Medicago orbicularis (fig. 287).
Partie inférieure du Pistil, renfermant les ovules : ovaire supère ou libre, Primevère (fig. A), ovaire infère ou adhérent, Groseillier (fig. B).
Ayant la forme d’un œuf, plus large à la base : feuilles de l’Androsème (fig. 288), de la Grande-Pervenche.
Se rapprochant de la forme ovale : feuilles du Buis (fig. 289).
Jeune graine attachée au placenta par le funicule (voir funicule).
Petites lames scarieuses accompagnant les fleurons sur les réceptacles de plusieurs Dipsacées et Composées : Dipsacus silvestris (fig. 290).
Renflement fermant plus ou moins la gorge de quelques corolles irrégulières : Muflier, Linaire (fig. 291).
Réceptacle garni de paillettes.
Feuille palmée, à divisions atteignant environ le milieu du limbe : Geranium pyrenaicum (fig. 292) et lucidum (fig. 293).
Feuille palmée, à divisions assez profondes, mais n’atteignant pas le milieu du limbe : Érable (fig. 294).
Feuille palmée, découpée en lobes jusqu’au-delà du milieu ou presque jusqu’à sa base : Ranunculus nemorosus (fig. 295), Geranium nodosum, Sanicle (fig. 296).
Feuille palmée, profondément découpée en segments à peine soudés à la base et complètement distincts : Aconit (fig. 297).
Feuilles à lobes divergents, imitant une main ouverte ou une patte d’oie (voir digité).
Échancré sur les côtés en forme de violon : feuilles du Rumex pulcher (fig. 298).
Inflorescence dans laquelle les axes secondaires, plus ou moins ramifiés, vont en décroissant de la base au sommet : Avoine, Milium effusum, Artemisia campestris (fig. 299).
Corolle irrégulière en forme de Papillon, composée de 5 pétales inégaux, un étandard, deux ailes et une carène formée de deux pétales plus ou moins soudés : Genêt (fig. 300), Cytise, Trèfle, Vesce, Pois et toute la famille des Papilionacées.
Petites rugosités rapprochées, coniques ou granuleuses : capsule de l’Euphorbia papillosa (fig. 301), graines du Spergula vulgaris (agrandies, fig. 302).
Végétal qui vit aux dépens d’un autre végétal vivant : Gui, Orobanche, Cytinet.
Feuille composée-pennée, ayant un nombre paire de folioles : Lentisque (fig. 303), Pois, Vesce, Gesse.
Division (voir pennatipartit, tripartit).
Ne portant qu’un petit nombre de fleurs : Pois.
À divisions étroites et opposées sur deux rangs comme les dents d’un peigne : feuilles des Myriophyllum (fig. 304), de l’If.
À segments parallèles, le moyen libre, les latéraux plus ou moins longuement unis à la base : feuilles de l’Hellébore (fig. 305).
Support de chaque fleur, quand le pédoncule est ramifié : Vicia Craca (fig. 306), Pois.
Fleur ou fruit muni d’un pédicelle.
Support d’une ou plusieurs fleurs (voir fig. 306).
Porté par un pédoncule, par opposition à sessile.
Orbiculaire et fixé par le centre : feuilles de l’Hydrocotyle (fig. 307), de la Capucine.
Feuille pennée, à lobes atteignant à peu près le milieu de chaque demi-limbe : Seneçon commun (fig. 308), Verveine (fig. 309).
Feuille pennée, à lobes assez profonds, mais n’atteignant pas le milieu de chaque demi-limbe : Sorbus torminalis (fig. 310).
Feuille pennée, à partitions dépassant le milieu de chaque demi-limbe : Coquelicot (fig. 311), plusieurs Cirsum (fig. 312).
Feuille pennée, à segments atteignant tout à fait ou presque la nervure médiane : Panais (fig. 313), Filipendule (fig. 314).
Feuilles dont les folioles sont disposées de chaque côté du pétiole commun comme les barbes d’un plume : Robinier, Fraxinelle (fig. 315), Vesce.
À 5 divisions ou parties : fleur de la Quintefeuille (fig. 316).
Qui peut vivre plusieurs années : Cerastium triviale.
Feuille embrassant si bien la tige que celle-ci parait traverser son limbe : Bupleurum rotundifolium (fig. 317), Chlora perfoliata.
Enveloppe florale remplaçant le calice et la corolle des Monochlamydées et des Monocotylédones : Lis, Colchique (fig. 318).
Enveloppe du fruit provenant des parois de l’ovaire à maturité : peau du blé, du Sarrasin.
Synonyme de involucre (voir ce mot).
Inséré autour de l’ovaire sur les bords du réceptacle : étamines de la Rose et des Caliciflores (voir ce mot).
Durant au delà du terme où les mêmes organes sont caducs : styles de la Clématite ; feuilles restant vertes pendant l’hiver : Buis, Laurier.
Corolle en forme de masque, à deux lèvres, à gorge fermée par une saillie appelée Palais : Muflier (fig. 319) ; Linaire (fig. 320).
L’une des folioles ou divisions de la corolle, ordinairement composée du limbe et de l’onglet : Œillet (fig. 321).
Ayant l’aspect et la couleur d’un pétale, d’une corolle : Anémone Pulsatille (fig. 322), Daphne, Aristoloche.
Support ou queue de la feuille (fig. 323).
Muni d’un pétiole, par opposition à sessile.
Petit pétiole de chaque foliole d’une feuille composée : Vesce (fig. 323).
Muni d’un petit pétiole ou pétiolule.
Plante se reproduisant par des étamines et des pistils : Renoncule et toutes les plantes ayant de véritables fleurs.
En forme de Poire (fig. 324), ou de Figue.
Organe femelle et central de la fleur phanérogame, comprenant ordinairement l’ovaire, le style et le stigmate : fleur du Colchique (fig. 325).
Fleur ne portant que le pistil ou des carpelles : Chanvre femelle, châtons femelles des saules (fig. 326).
Racine principale, bien plus développée que les radicelles, s’enfonçant verticalement dans le sol : Carotte sauvage (fig. 327).
Tissu de l’ovaire sur lequel les ovules sont attachés au moyen du funicule (voir ce mot).
Muni de poils rameux ou rangés sur deux rangs, comme les barbes d’une plume : aigrette des Cirsium (fig. 328).
Qui porte plusieurs fleurs : Tilleul.
Garni de poils longs et distincts.
Poussière fécondante de la fleur, renfermée dans les loges de l’anthère.
Qui porte plusieurs capitules : Seneçon commun, Serratula tinctoria (fig. 329).
Plante portant sur le même pied des fleurs à étamines, des fleurs à pistil et des fleurs hermaphrodites : Pariétaire, Pimprenelle (fig. 330).
De forme très variable : silicule du Draba verna.
Corolle formée de plusieurs pétales libres : Ficaire (fig. 331), Renoncule.
Involucre ou involucelle à folioles nombreuses : Carotte, Libanotis montana (fig. 332).
Calice formé de plusieurs sépales libres : Renoncule, Hellébore (fig. 333).
Fruit à graines nombreuses : Coquelicot (fig. 334).
Marqué de petits points : feuilles de la Sariette (fig. 335) ; pétales de quelques Saxifrages.
Organe qui en produit un autre semblable à lui-même : Poa vivipara.
Faiblement et brièvement pubescent.
Garni de poils fins, mous, courts et peu serrés : Delphinium pubescens.
Couvert d’une sorte de poussière : Helianthemum pulverulentum.
Capsule s’ouvrant circulairement à la maturité par la chute d’un opercule, comme une boite à savonnette : Jusquiame, Pourpier, Anagallis (fig. 336).
Inflorescence en forme de grappe : Sclerochloa dura (fig. 337).
Pétiole commun portant les folioles des feuilles composées, et axe primaire de quelques inflorescences, telle que la panicule : Avoine, Aspidium aculealum (fig. 338).
Qui naît de la racine ou de la souche : pédoncule radical, feuilles radicales.
Couché et émettant ça et là des racines : stolons de la Violette odorante, de plusieurs Carex (fig. 340), Renoncules (fig. 339).
Petites racines secondaires naissant sur la racine principale : Bupleurum rotundifolium (fig. 341).
Fleur composée, offrant des fleurons au centre et des demi-fleurons à la circonférence : Marguerite (fig. 342), Pâquerette, Arnica, Souci.
Feuilles situées sur les rameaux : Grémil violet (fig. 343).
Couché, étendu horizontalement sur le sol ou sous terre : Goodyera repens.
Sommet élargit du pédoncule portant les diverses parties de la fleur, ou toute une inflorescence comme dans les Composées : Marguerites (fig. 344), Matricaires (fig. 345).
Recourbé en dehors vers la terre : calice de la Renonculée de Montpellier (fig. 346) et bulbeuse.
Réfléchi sur lui-même brusquement comme par suite d’une cassure : pédicelles fructifère de l’Holosteum (fig. 347).
Organe dont toutes les parties sont égales et symétriques : fleur de la Renoncule.
En forme de rein ou de haricot : Asaret (fig. 348), feuilles flottantes des Renoncules aquatiques, graines de haricot (fig. 349).
Surface marquée de lignes entrecroisées en réseaux, comme les mailles d’un filet : feuilles du Goodyera (fig. 350), carpelles du Ranuculus arvensis (fig. 351).
À sommet tronqué et légèrement déprimé : silicule de la Bourse-à-pasteur (fig. 352), fruit du Fumaria officinalis (fig. 353).
Tige souterraine émettant des racines fibreuses et des tiges aériennes : Trèfle d’eau (fig. 354), Sceau-de-Salomon.
En forme de losange : feuilles de plusieurs Amarantes (fig. 355).
Feuille pennatifide, à lobes aigus et dirigés vers la base : Laiteron (fig. 356), Pissenlit (fig. 357).
Feuilles étalées et rapprochées en cercle : Androsace maxima (fig. 358).
En forme de bec.
Plan, étalé en roue : corolle de la Bourrache (fig. 359), du Bouillon-blanc (fig. 360), de la Véronique (fig. 361).
Muni de rides ou inégalités qui le rend rude au toucher : fruit de l’Hellébore (fig. 362).
En forme de fer flèche : feuilles de la Sagittaire (fig. 363), l’Arum maculatum.
Qui dépasse le bord d’un organe (voir exsert).
Fruit sec, indéhiscent, monosperme, à bord aminci en aile membraneuse : Orme, Érable (fig. 364).
Tiges ou rameaux ligneux, flexibles, faibles, ayant besoin d’un appui : Vigne, Clématite.
Très rude au toucher : Garance.
Tige nue comme une hampe : Arnoseris pusilla (fig. 365), Hieracium saxatile, Draba verna.
Membraneux, mince et transparent, jamais vert : Paronychia nivea, Dianthus prolifer.
Roulé en queue de scorpion ou en crosse : inflorescence de l’Héliotrope (fig. 366) et de toutes les Borraginées.
Division d’une feuille se prolongeant jusqu’à la nervure médiane : Renoncule bulbeuse (fig. 367).
Fleur composée, formée uniquement de demi-fleurons : Pissenlits, Épervière (fig. 368).
Division du calice (voir ce mot).
Dépourvu de support, de pétiole, de pédoncule : feuilles du Cytisus sessilifolius (fig. 369).
Étroit, fin et raide comme une soie de porc : feuilles de plusieurs Festuca, rameaux des Prêles (fig. 370).
Qui a la forme d’une soie : poils du Papaver setigerum (fig. 371).
Petite silique dont la longueur n’égale pas trois ou quatre fois la largeur : Draba (fig. 372), Iberis, Lepidium.
Sorte de capsule au moins trois fois plus longues que large, formée de deux valves séparées par une cloison portant les graines : Chou (fig. 373), Moutarde, Giroflée.
Marqué de sillons ou raies longitudinales profondes : tige de l’Equisetum palustre (fig. 374), et de plusieurs Ombellifères.
Non composé, non ramifié : feuille simple ; poils simples de l’aigrette des Carduus (fig. 375).
À bords flexueux, à angles peu profonds et arrondis : feuilles du Matthiola triscupidata (fig. 376), du Chêne blanc (fig. 377), du Specularia hybrida.
Échancrure comprise entre les lobes : feuilles du Chêne (fig. 377).
Poil long et raide : épi des Setaria (fig. 378).
Groupes des sporanges qui constituent la fructification des Fougères : Polypodium vulgare (fig. 379).
Partie souterraine de la tige des plantes vivaces : Renoncule tubéreuses (fig. 380).
Couvert de poils fins, doux comme de la soie et couchés : feuilles de l’Alchimilla alpina.
Inflorescence des Aroïdées, axe simple à fleurs mâles et femelles sessiles : Arum maculatum (fig. 381 partie intérieure).
Grande bractée membraneuse ou foliacée enveloppant quelques inflorescences : Arum (fig. 381, enveloppe extérieure), Ail (fig. 382), Iris (fig. 383).
Petit arbrisseau inférieur à un mètre et dont l’extrémité des rameaux herbacés se dessèche chaque hiver : Sauge officinale, Lavande, Thym.
En forme de spatule, plan, élargi au sommet, atténué dans le bas : Pâquerette, Senecio spatulifolius (fig. 384).
Presque en forme d’épi : inflorescences du Phleum asperum (fig. 385), de la Flouve.
Se terminant en épine faible : feuilles du Cirsium monspessulanum (fig. 386).
Couvert de petites épines ou spinules : Pieris et Helminthia echioides (fig. 387).
À tissu poreux, compressible et élastique comme une éponge : écorce du Chêne-liège.
Qui croît sans culture, à l’état sauvage : Chêne, Ronce, Bruyère.
Espèce de capsule renfermant les spores des Acotylédones : fructifications des Fougères, Scolopendre (fig. 388, très grossie), etc.
Corps reproducteur des végétaux cryptogames.
En forme d’écaille (voir ce mot).
Petite écaille : tige de plusieurs Leontodon (fig. 389).
Portant uniquement des étamines : châtons mâles du Saule cendré (fig. 390), pieds mâles du Chanvre.
Nature ou état du sol où croît une plante.
Sommet glanduleux du pistil (voir ce mot).
Porté sur un petit support ou stipe : gousse de Vicia hybrida (fig. 391).
Appendices foliacés ou membraneux qui se trouvent à la base d’un grand nombre de feuilles : Trèfle (fig. 392), Vesce.
Muni de stipules.
Rejet rampant et radicant qui naît à la base d’une tige et sert à la multiplication de la plante : Fraisier, Violette odorante, Lierre terrestre (fig. 393).
Pourvu de stolons.
Petits sillons séparés par des côtes : calice du Silene conica.
Muni de stries ou de veines : corolle du Linaria striata.
Synonyme de Caroncule.
Petit filet qui surmonte l’ovaire et porte le stigmate (voir pistil).
Disque qui couronne le fruit des Ombellifères et qui porte les styles : Cerfeuil sauvage (fig. 394).
Devant un autre mot signifie presque : subaigu, presque aigu ; subsessile, presque sessile, etc.
Ayant la nature et la consistance spongieuse du liège : écorce du Chêne-liège et de certains Ormes.
Qui se termine insensiblement en pointes très aiguë, comme une alène : feuilles du Genévrier (fig. 395), du Polycnemum (fig. 396).
Ovaire libre au fond du calice ou de la corolle, par opposition à infère ou adhérent : Renoncule (fig. 397. Voir aussi fig. A et fig. B, page XXIII.)
Ligne de jonction de deux organes soudés ensemble, par exemple des deux valves d’une gousse (voir ce mot).
Étamines soudées par les anthères et formant un tube dans lequel passe le style : toutes les Composées (fig. 398).
Synonyme de Labelle (voir ce mot).
Disposé par trois : fleurs de plusieurs Teucrium (fig. 396).
Étamines au nombre de 6, dont 4 plus longues : Chou (fig. 400), Moutarde et la famille des Crucifères.
À 4 angles : gousse du Tetragonolobus (fig. 401), tiges de la Lavande (fig. 402), de la Menthe, de la Sauge et des autres Labiées.
À 4 divisions ou parties, par opposition à pentamètre : fleur de la Tormentille (fig. 403).
Plante dont les étamines, indépendantes du calice, sont insérées sur le réceptacle : Renoncule (fig. 401) et toute la classe des Thalamiflores.
Panicule ovoïde dont les pédicelles du milieu sont plus longs que ceux des extrémités : Lilas, Troëne (fig. 405).
Couvert d’une pubescence cotonneuse, entrecroisée, feutrée : jeunes Coings, Cistus albidus.
Offrant une série successive de renflements et d’étranglements : silique de la Ravenelle, gousse de l’Ers (fig. 406).
Longuement rampant : souche du Chiendent.
Divisé en trois parties, dont chacune se subdivise à son tour en trois, et ainsi de suite plusieurs fois : panicule du Silene italica (fig. 407).
À 3 dents : feuilles de Globularia (fig. 408), de l’Hieracium tridentatum (fig. 409), folioles du Vicia monanthos (fig. 410).
Fendu en 3 parties : lobes des feuilles de plusieurs Renoncules (fig. 411).
Portant 3 fleurs.
À 3 folioles : Trèfle (fig. 412) et nombreuses Papilionacées.
À 3 angles : tige de plusieurs Carex (fig. 413) ; fruit du Sarrasin (fig. 414).
À 3 lobes : feuilles de l’Anémone Hepatica (fig. 415).
À 3 loges : capsule de l’Asphodèle (fig. 416), du Lis.
À 3 nervures : Aster trinerris (feuilles) (fig. 417), valves de la silique du Brassica Cheiranthus (fig. 418).
Divisé jusque près de la base en trois partitions : feuilles de la Renoncule tripartite (fig. 419) ; épines et feuilles de la Lampourde épineuse (fig. 420).
3 fois pennatiséqué : feuilles de plusieurs Fougères (fig. 421) et Ombellifères.
À 3 angles saillants, amincis et comme tranchants : tige du Carex riparia (fig. 422).
À 3 segments : feuilles du Ranunculus repens (fig. 423) ; Podagraire (fig. 424).
À 3 graines : Capsule du Montia (fig. 425), de l’Asphodèle.
3 fois divisé en 3 segments : feuilles de certains Ranunculus (fig. 426) et Thalictrum.
Fruit s’ouvrant en 3 valves : Violette, Asphodèle, capsule de la Pensée (fig. 427).
Coupé brusquement par une ligne transversale : folioles du Vicia sativa (fig. 428) ; graines du Leonurus Cardiaca (fig. 429).
Renflement souterrain de la tige ou de la racine : Pomme de terre, Pivoine, Orchis (fig. 430) ; granules qui recouvrent certains fruits ou certaines graines : Arbousier (fig. 4 31).
Pourvu de un ou plusieurs tubercules.
Membrane qui enveloppe un organe : bulbe du Colchique (fig. 432).
En forme de toupie un peu déprimée au sommet ou en cône renversé : Nèfle, silicule du Camelina fœtida (fig. 433).
Jeune tige naissant de la souche d’une plante vivace : Asperge (fig. 434), Rose, Ronce.
(voir onciné).
Qui ne porte qu’une fleur : Violette, Tulipe.
À une seule lèvre : corolle des Teucrium (fig. 435), des Ajuga.
Disposé ou tourné d’un seul côté : fleurs de la Digitale (fig. 436), du Silene gallica.
À une seule loge : capsule de la Silène (fig. 437), du Réséda.
Marqué d’une seule nervure : valves de la silique du Barbarea (fig. 438).
Disposé sur un seul rang : graines des Brassica (fig. 439), des Barbarea et de nombreuses Crucifères.
En forme de grelot, renflé au milieu et resserré aux deux bouts : corolle de l’Airelle (fig. 440), de la Busserole (fig. 441), du Muscari.
Pièces composant l’enveloppe des fruits déhiscents : silicule du Lunaria biennis (fig. 442).
Végétal dont le tissu est composé de petits vaisseaux ou tubes courts, unis à des fibres et à des cellules : se dit par opposition à Cellulaire et s’applique à tous les végétaux supérieurs, les seuls dont il s’agit dans cette Flore.
Marqué de veines ou petites nervures ramifiées et apparentes : calice du Silene inflata (fig. 443), corolle de la Jusquiame (fig. 444), gousse du Lathyrus sphæricus (fig. 445).
Couvert de petits poils courts et épais, doux au toucher comme le velours : Pêche
Couvert de poils longs, mous et rapprochés : Ranunculus nemorosus (fig. 446).
Hérissé d’aspérités ou de tubercules semblables à de petites verrues : capsule de plusieurs Euphorbes (fig. 447).
Ensemble d’organes rangés en cercle autour d’un axe : feuilles de la Garance (fig. 448), et de toutes les Rubiacées.
En forme de vésicule ou de petite vessie : gousse du Baguenaudier (fig. 449).
Qui s’attache aux corps comme la glu : sommités de plusieurs Silènes.
Plante dont la racine vit plusieurs années ou indéfiniment : Violette, Hellébore, Lis.
Fleur qui se transforme en bourgeon foliacé : Poa vivipara.
Tige qui s’enroule autour des corps voisins : Houblon (fig. 450), Cuscute, Liseron (fig. 451), Haricot.
Filaments volubles de certaines plantes s’enroulant en spirale autour des corps voisins : Vigne, Bryone, Pois (fig. 452), Vesce, Lathyrus (fig. 453).
An Asymptote code and the generated picture animations--001.
An Asymptote code and the generated picture animations--002.
An Asymptote code and the generated picture animations--003.
An Asymptote code and the generated picture animations--004.
An Asymptote code and the generated picture animations--005.
An Asymptote code and the generated picture animations--006.